Tu aimes parler, tu aimes t'écouter Tu aimes parler et t'écouter parler Et tu parles, tu parles, tu parles, tu parles, tu parles, tu parles... Et tu parles Avec toi, le verbe parler ne peut que se conjuguer à la 1re personne du singulier Quand tu décolles, tu n'peux plus t'arrêter Tu m'parles de balle-molle une partie d'la soirée Et si j'essaie de glisser un mot Tu joues ton passage fortissimo Et si j'essaie de changer d'sujet Tu ramènes tout à ton menuet (Rodger monologue) Je hoche la tête feignant l’approbation Mais je ne ressens rien, pas la moindre émotion Tu aimes parler, tu aimes t'écouter Tu aimes parler et t'écouter parler Et tu parles, tu parles, tu parles, tu parles, tu parles, tu parles... Et tu parles Avec toi, le verbe parler ne peut que se conjuguer à la 1re personne du singulier Ton monologue finit par finir J'ai pas r'tenu grand-chose de tout c'que t'as pu dire J'ai les oreilles comme deux gros choux-fleurs À force d'entendre parler d'baseballeurs (Rodger monologue) Je hoche la tête feignant l’approbation Mais je ne ressens rien, pas la moindre émotion J'ai vêtu mon armure en acier J'ai pris mon épée et j't'ai coupé J'ai réussi à changer d'sujet Soudainement, tu devins muet… Et j'ai parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé Et j'ai parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé, parlé! Moi, j'aime parler Et j'aime m'écouter Moi, j'aime parler et m'écouter parler Et je parle, je parle, je parle, je parle, je parle, je parle... Et je parle

J’ai péché dans les larmes de mes yeux Les souvenirs de nos jours heureux J’ai péché dans les larmes de mes yeux Le tonnerre d’un au revoir orageux Tu as planté dans mon cœur le pieu de mes erreurs J’ai fait coaguler l’amour, Provoqué la crise cardiaque Mon cœur à retardement, C’est la crise du printemps J’ai fait coaguler l’amour, Provoqué la crise cardiaque Mon cœur à retardement… i’pass’ra pas l’été en’dans J’ai cherché dans les larmes de mes yeux Les explosions de nos corps en bigbang J’ai trouvé dans les larmes de mes yeux Les illusions qui m’reviennent en boomerang Tu as planté dans mon cœur le pieu de mes erreurs J’ai cherché dans les larmes de mes yeux Les explosions de nos corps en bigbang J’ai trouvé dans les larmes de mes yeux Les illusions qui m’reviennent en boomerang Mon coeur à retardement, prêt à exploser à tout moment J’ai cherché dans les larmes de mes yeux Les explosions de nos corps en bigbang J’ai trouvé dans les larmes de mes yeux Les illusions qui m’reviennent en boomerang

Il n'avait pas du tout le profil Pourtant, c'était écrit sur son cœur en caractères gras indélébiles Son destin était déjà tracé Tu n’avais pas ta place dans sa vie, because Jésus, Marie, Joseph all the way Pour pouvoir plonger dans son eau bénite Tu aurais appris ton catéchisme Amen Oh my god Oh my love Tu as été reçu comme une païenne Sa sainte maman t’as laissée entrée, elle t’as traitée comme Marie-Madeleine Elle te voyait comme une diablesse Qui aurait dé-purifier son fils lors d’une torride partie de fesse Pour pouvoir plonger dans son eau bénite Tu aurais appris ton catéchisme Amen Oh my god Oh my love Assis au bar, Il sirotait sa bière, récitait sa prière Il questionnait le ciel : « C’est Jésus ou c’est elle? Besoin d’un signe, aide-moi grand-mère… » Soudain, Un lampadaire s’est éteint trois fois de suite (Oh my god) C'tait un signe de l'au-delà, fallait qu’i t’quitte (Oh my god)... Pour devenir prêtre Célébrons! Une brebis égarée est revenu dans le droit chemin Un chemin pur comme un bébé, doux comme la colombe, chaste comme un joueur de Donjon Dragon Ce futur prêtre luttera contre les nouvelles machines à dégrader les mœurs et briser les hommes : Tinder, la SQDC et les strings Pour les combattre, il n’aura besoin que d’une arme Le livre des livres : The bible Oh oui, S-E-I-G-N-E-U-R : le seigneur Il est mort Puis ressuscité Beat that Luc Langevin Le Goliath est un manège pour païens Croire en Dieu c’est être dans le David Jésus comme pilote sur les rails de l’éternité Le chemin de la vérité, de la vie! Jésus! Ton cœur fait des montagnes russes!

PAYAYA Le blanc, le blanc est cassé par le temps Le temps, le temps est passé en coup d’vent Le vent, le vent, le vent m’a frappé dans l’présent Présentement, j’ai les pieds dans l’ciment PAYAYA Je mens, je mens, je mens, facile de faire semblant Semblant, semblant, semblant que j’ai pris mon élan L’élan, l’élan, l’élan pour aller de l’avant Avant que l’on n’m’oublie comme le printemps PAYAYA Comment, comment, comment garder mon coeur d’enfant L’enfant, l’enfant en moi veut devenir grand Grandir, grandir, grandir sans jamais vieillir J’attends, j’attends, j’attends, j’attends après quoi? J’attends, j’attends, j’attends, j’attends après quoi? J’attends après PAYAYA

T’es belle, pis t’es réelle J’ai l’impression de rêver J’ai plus besoin de fermer mes yeux pour te voir J’ai d’la misère à l’croire T’es belle, pis t’es réelle Je rêve mais j’suis réveillée Une envolée de ptérodactyles dans mon estomac À chaque fois qu’j’te vois À chaque fois qu’j’te vois Une envolée de ptérodactyles dans mon estomac À chaque fois qu’j’te vois T’es belle, pis t’es réelle J’ai l’impression de rêver T’es comme le soleil pis moi la terre, j’arrête pas d’te tourner autour J’pense ben que j’t’en amour T’es belle, pis t’es réelle Je rêve mais j’suis réveillée Une envolée de ptérodactyles dans mon estomac À chaque fois qu’j’te vois À chaque fois qu’j’te vois Une envolée de ptérodactyles dans mon estomac À chaque fois qu’j’te vois Je voudrais m’envoler dans tes bras Une envolée de ptérodactyles dans mon estomac À chaque fois qu’j’te vois À chaque fois qu’j’te vois Une envolée de ptérodactyles dans mon estomac À chaque fois qu’j’te vois